Certaines découvertes récentes semblent indiquer qu’en divers endroits de la croûte terrestre des cataclysmes d’ordre atomique ont eu lieu dans l’Antiquité ou la préhistoire. Les indices géologiques montrent que ces anomalies pourraient avoir causé la
destruction de civilisations entières.
Parmi ces indices, on trouve des traces révélatrices de
guerres nucléaires.
De larges zones de verre coulé de couleur verte et des cité vitrifiées sont apparues dans les fouilles archéologiques sur les sites suivants :
à Pierrelatte du Gabon ;
dans la vallée de l’Euphrate ;
dans les déserts du Sahara, de Gobi, de Mojave ;
dans l’Ancien et le Nouvel Empire d’Egypte ;
au sud de la Turquie.
A notre époque, des matériaux de cette nature ne sont connus que sur des sites d’essais nucléaires où le sable a été vitrifié par la chaleur.
Des scientifiques ont également trouvé d’anciens
gisements d’uranium qui semblent avoir été minés et exploités dans l’Antiquité ou encore avant. Pour faire quoi ?
Certains scientifiques ont apporté la preuve que ces
zones de vitrification étaient dues à des météorites. Mais ça n’explique pas les restes que l’on trouve sur une superficie grande comme la Gironde et les Landes réunies en Arabie occidentale et au Yemen. Les experts ont établi que les pierres tranchantes qui jonchent le sol sur 18 000 km
2 ne proviennent pas de volcan et semblent dater d’une époque où l’Arabie était un pays fertile et luxuriant avant d’être soudainement calciné à l’état de désert. Seule une
guerre atomique pourrait détruire une contrée aussi vaste aussi durablement. Ça fait plus de 300 000 ans que plus rien ne pousse dans cette région.
On retrouve des traces similaires dans le désert de Gobi, en chine.
On apprend plus d’informations en lisant cet article :
https://lesmoutonsenrages.fr/2015/06/13/deserts-vitrifies-et-autres-traces-de-guerres-nucleaires-prehistoriques/