Mais c'est justement à partir de cette époque, le XVIIe siècle, que les messes noires les plus odieuses commencèrent à se dérouler, ajoutant le crime à la débauche. Par la suite, des messes noires se terminant ou non par des orgies, continuèrent et continuent toujours à être célébrées dans notre pays en dehors de tout
sacrifice humain, mais parfois avec des sacrifices animaux. Il s'en effectuerait même certaines nuits dans le cimetière du
Père Lachaise en plein Paris.
De par le monde, hélas, des sacrifices humains sont encore pratiqués dans ces
rituels sataniques. Le journal «
Le Progrès » daté du 19 juillet 1992 rend compte de la découverte au Brésil, sur un terrain vague, le 11 avril de cette même année, du corps égorgé d'
Evandro Caetano, âgé de 7 ans. Il avait été sacrifié par deux sorciers pendant le déroulement d'une messe noire demandée par
Céline et
Béatrice Abagge, épouse et fille du maire de Garatuba au sud du Pays. Elles ont avoué avoir versé aux sorciers l'équivalent d'une valeur de dix mille francs, ce qui est énorme au Brésil, afin d'acquérir plus de pouvoir pour leur famille au moyen de la
cérémonie sacrificielle.
Plus près de chez nous, à la fois en distance et en période temporelle, on entend souvent parler d'
enlèvements d'enfants qui présentent des caractéristiques particulières, notamment les roux au Maghreb ou les
albinos en Afrique Noire. Ils sont sacrifiés au titre de rituels de messes noires.