Le réseau électrique sans fil de Tesla

Nikola Tesla
Le cerveau américain Nikola Tesla est l'un des plus influents inventeurs du XXe siècle. Il est né en 1856 et sa vie et sa carrière sont inséparables de tout ce qui touche de près ou de loin à l'énergie libre.

Ses brevets sur les courants électriques alternatifs et sur la distribution de l'électricité ont permis de lancer l'industrie de l'électricité. Il a aussi contribué à l'avancement de la robotique, du radar et de l'informatique. Bien que Tesla soit reconnu pour plusieurs avancées scientifiques, l'une de ses idées qui ne s'est pas réalisée est celle de créer un réseau électrique sans fil. Le projet de Tesla consistait à installer des tours à travers les États-Unis et à travers le monde. elles auraient transmis l'électricité comme le fait une station de télévision. Au lieu de poser des lignes partout, on transmet l'énergie par voie terrestre ou aérienne.

Un certain nombre de démonstrations de l'appareil de transmission d'électricité sans fil ont eu lieu au cours de la vie de Tesla. On sait que ça fonctionne. Il semble qu'il ait utilisé la conductivité du sol et de l'air pour transporter le courant électrique. En fait, dans l'air, si on met assez de tension sur le circuit, un arc électrique apparait. C'est ce qui se produit dans une ampoule électrique fluorescente. Dans le sol il y a de l'eau et des sels minéraux qui peuvent eux aussi transporter les ions et donc, le courant électrique.

Bien que la théorie des tours électriques de Tesla ait été populaire, le projet a été un échec financier. L'idée de l'électricité sans fil de Tesla était-elle une redécouverte d'une technologie ancienne ?

 

Un réseau d'obélisques à travers le monde

On peut penser que Tesla tentait de recréer un ancien système électrique qui était utilisé à travers le monde. Le système fonctionnait au moyen d'obélisques. Les obélisques sont des tours de granit monolithiques. Ils sont comme un morceau de cristal solide. Les obélisques étaient taillés selon des dimensions précises et ils étaient accordés comme un diapason. Ces anciennes tours de transmission aurait-elle diffusé de l'électricité dans l'atmosphère ? Si oui, comment l'électricité était-elle générée ?

Chacun de ces obélisques aurait requis une centrale électrique similaire à celles que nous utilisons de nos jours. L'électricité est produite par des champs magnétiques rotatifs. Ces champs produisent du courant électrique alternatif. La toute première centrale électrique a été construite par Nikola Tesla aux chutes du Niagara. En effet, on a besoin d'énergie pour faire tourner les champs magnétiques rotatifs, dans ce cas ci : de l'eau. Chaque obélisque aurait eut besoin d'une centrale électrique similaire à celle des chutes du Niagara. Elle génère de l'énergie mais c'est l'obélisque qui envoie l'électricité dans l'atmosphère, la rendant utilisable.

Une centrale énergétique sur le site de Gizeh

Ça ressemble à la théorie de Christopher Dunn sur la centrale énergétique de Gizeh. Selon lui, la Grande Pyramide envoyait des micro-ondes à un satellite en orbite autour de la terre. En théorie ce satellite aurait pu capter les micro-ondes et les retransmettre à un autre endroit sur la terre, par exemple un lieu reculé comme l'île de Pâques.

Selon certaines descriptions d'anciennes machines volantes, il est possible qu'une forme de rayonnement d'énergie ait été utilisé. En fait, pour plusieurs des stèles que l'on voit, ça aurait beaucoup de sens parce qu'on pourrait placer le système de rayonnement énergétique dans un vaisseau-mère en orbite. On enverrait de l'énergie par rayonnements au véhicule où elle serait absorbée pour servir à la propulsion. Ça a beaucoup de sens parce qu'on sort le système électrique du véhicule pour le placer ailleurs.

La théorie de la centrale énergétique de Gizeh repose sur l'extraction de l'énergie de la terre à travers la Grande Pyramide qui aurait converti cette énergie en micro-ondes. Les éléments chimiques pénétraient dans les conduits jusqu'à la chambre de la reine, puis ils se mélangeaient pour produire de l'hydrogène. L'hydrogène étant plus léger que l'air, il montait dans toutes les salles au dessus. L'énergie de la terre faisait alors vibrer toute la pyramide. Ces vibrations se rendaient dans la grande galerie. La grande galerie était donc un couloir de résonateurs. Il y a 27 paires de fentes qui parcourent la longueur de la galerie et les résonateurs devaient y être placés à la verticale. La théorie de Christopher Dunn est qu'au moyen de résonateurs, la grande galerie envoyait des micro-ondes dans l'un des conduits. Une fois la centrale démarrée, elle pouvait être en activité pendant des années, des décennies, même des siècles sans s'arrêter. Elle produisait une énergie utilisable que l'on pouvait capter. On peut spéculer sur l'endroit où elle se rendait. Elle pouvait être captée dans les environs, elle pouvait se rendre jusque dans l'espace. On l'ignore.

Si la Grande Pyramide était une centrale énergétique, produisait-elle seule de l'énergie ou faisait-elle partie d'un réseau ? Y a-t-il des indices qui pourraient nous indiquer à quoi servait toute cette énergie ?

Tesla et la polarisation du vide macroscopique

Croquis d'un brevet de Nikola Tesla
L'hypothèse de polarisation macroscopique du vide explique les tentatives de Tesla pour transmettre et recevoir de l'énergie à travers des appareils à fort potentiel. La clé de l'élément transducteur dans le générateur sans-fil Tesla (brevet n°1,119,732 du 1er décembre 1914) serait la brusque décharge de la couronne autour de la sphère, au sommet de la tour. Afin de permettre des oscillations cohérentes de l'ion dans cette couronne, il est très important d'éviter l'émission d'étincelles, car cela produirait une turbulence ionique et romprait les oscillations. Tesla évitait celles-ci en montant des structures hémisphériques au sommet de ses tours. Le circuit qui fournit l'énergie, couplé à la couronne, devait être accordé à la fréquence ion-acoustique de la couronne. La valeur de cet accord est difficile à calculer car la couronne elle-même peut accroitre la capacité d'excitation et altérer sa fréquence de résonance.

Les études de décharge de couronne montrent qu'une couronne de décharge brusque, stable, peut-être induite par une explosion pulsante unipolaire de radio-fréquence.

Si la radio-fréquence combat la fréquence ion-acoustique de la couronne, une oscillation ion-acoustique stable, cohérente peut-être alors maintenue. J. Corum suggère que Tesla doit avoir employé une ionisation de rayon X pour obtenir la rectification de la radiofréquence de conduite pour induire et stabiliser la couronne en haut de la tour.

Si une oscillation ion-acoustique stable peut être induite dans la couronne, ensuite, en heurtant la polarisation du vide, des courants en déplacement peuvent se coupler avec elle et l'énergie peut être absorbée dans le circuit de conduite accouplé.
 

Tesla et le courant scalaire

La capacité de conduire une puissance électrique appréciable sur des fils fins ordinaires, sans les faire chauffer constituerait, pour un ingénieur, une démonstration éclatante et définitive d'une nouvelle forme d'électromagnétisme.

Ci-dessous nous évoquons une expérience qui pourrait produire cette « conduction froide » et démontrer un phénomène connu sous le nom de courant scalaire (et dont Tesla a démontré toutes les utilisations possibles, et nous verrons qu'elles vont du meilleur au pire).

Le courant scalaire apparait en faisant "exploser" brusquement des champs magnétiques sur une bobine en caducée. Si des champs magnétiques explosifs sont imprimés sur une bobine ordinaire (un simple tour), aucun courant ne devrait passer puisque les champs magnétiques s'annulent.

Les courants sont décrits comme "virtuels" puisqu'ils sont compris, non pas comme un flux d'électrons dans des fils, mais plutôt comme un déplacement de courant dans le vide d'énergie Point-Zéro à l'extérieur du fil.

C'est comme si les champs magnétiques explosant brusquement, manifestaient une double production de deux vortex de courant en déplacement macroscopique, tournant en opposition dans l'énergie Point-Zéro.

Ces vortex d'énergie du vide sont stabilisés et supportés par les deux enroulements symétriques.

Il y a plusieurs façons d'imprimer les champs magnétiques sur le caducée ou le double fil. Une méthode pourrait utiliser deux électroaimants avec le propre circuit de contrôle pour mettre en phase, de façon appropriée, les champs magnétiques. Une autre méthode serait que la bobine puisse être enroulée dans le vide entre les deux aimants permanents, en utilisant des brosses et des anneaux pour obtenir le courant scalaire.

Bedini a décrit cette méthode dans son générateur de champ gravitique, où il a non seulement fait mention d'une « conduction froide », mais également d'un changement de poids de l'appareil.

Une solution de transport de l'énergie électrique par conduction froide

Tour Tesla
Tesla a mis au point ses systèmes de diffusion de puissance électrique et de communication en se basant sur la Terre comme une plaque de condensateur sphérique avec comme autre plaque l'ionosphère. La fréquence qui marche le mieux avec ce système est 12 Hz et son harmonique, et la fréquence d'orage autour de 500 KHz.

Nous venons de voir comment Tesla avait imaginé un système de propulsion d'électricité, et surtout de TRANSPORT de cette puissance électrique SANS FILS, qui était tellement en avance sur son temps (et sur le nôtre) qu'elle lui a valu une hostilité telle, qu'elle la conduit à une mort violente.

Une seule tour, pour plusieurs centaines de milliers de km2, permettant d'approvisionner foyers, voitures, avions (électriques) et aéronefs anti-gravité . . . De quoi changer la face du monde !

On comprend pourquoi Tesla, après avoir été adulé (il fut Prix Nobel et en refusa un autre pour ne pas le partager avec Edison) et financé par le banquier John Pierpont Morgan (JP Morgan), tant qu'il s'en tenait à parler de transmission d'ondes radio sans fils, a été proprement « exécuté » dès que ses sponsors ont compris qu'il touchait en fait aux monopoles naissants de l'énergie pétrolière.
 

Les applications militaires des inventions de Tesla

Le 11 juillet 1934 parait dans le New-York Times un article intitulé : « Le rayon de la mort de Tesla. »

Dès cette date il avait imaginé ce qui fait, aujourd'hui, l'essentiel du programme américain "Stars Wars" développé sous l'administration Reagan, pour soi-disant contrer la capacité soviétique d'envois de missiles nucléaires longue portée, en réalité pour combattre efficacement la pénétration de l'Espace aérien par les OVNIs.

Lorsqu'on pénètre dans « le spectre conceptuel » de personnages comme Tesla on comprend pourquoi le phénomène OVNI va bien au-delà de la seule question de savoir s' « ils » existent ou non. En fait, c'est parce qu' « ils » ont accédé depuis longtemps à ce niveau de technologie, et que nous pouvons en faire autant, dès à présent, que l'on s'acharne à perpétuer ce black-out total sur leur existence.



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